Depuis quelques années, les possibilités de champs d’applications de l’impression 3D deviennent de plus en plus infinies. De l’échelle industrielle à l’usage personnel, on ne peut que chanter les prouesses de cette invention. Mais pour que l’utilisation respecte en certaines les normes, l’impression 3D doit avant tout s’affranchir de quelques obstacles, afin de pouvoir tenir sur l’estrade d’une technologie approuvée à l’unanimité. Au nombre de ses obstacles, nous pouvons énumérer : la fiabilité des prototypes développés en premier lieu, et les engrenages liés aux aspects juridiques qui sont : les droits de propriété intellectuelle et enfin, les responsabilités portées à l’égard des défauts de fabrication.
La fiabilité des prototypes développés
Si la réplique des objets en 3D ne semble rassurer les utilisateurs au niveau des différents champs d’applications, alors la question de fiabilité pourrait se poser. Les facteurs susceptibles de remettre en cause la fiabilité des fabrications en 3D sont : l’exactitude de la réplique, la précision, la tolérance, et la résistance. De tels facteurs pouvant entraver la fiabilité de l’impression 3D sont qualifiés de douche froide suite aux essais faits et aux conclusions tirées de certaines entreprises leaders du domaine. Telle est le cas de Sed, une entreprise spécialisée dans l’intégration de l’impression 3D pour sa stratégie de service après-vente, qui le laisse savoir sur le site actu-environnement.
Les responsabilités de défauts de fabrication et propriété intellectuelle
L’absence d’un cadre juridique effectif n’est pas connue à ce jour pour faire office de règlement sur l’impression 3D. Par conséquent, l’idée de savoir que les droits d’auteur seront mis en cause n’est pas bien vu de tous. Par exemple, la réplique d’une pièce détachée en 3D d’un fabricant d’origine sans autorisations préalables de ce dernier ou d’un organe statutaire serait une contrefaçon de la part des imprimeurs 3D.
Les défauts de fabrication seront dans ce cas visibles puisque la fiabilité des impressions 3D est d’ores et déjà d’actualité. Il ne reste plus qu’à attendre et voir surgir les premières conséquences de suite aux défauts fabrications. Et si tel est de cas les fabricants l’impression 3D devront être tenue pour responsable. Mais malheureusement, avec l’absence d’un cadre juridique complète et efficace, on ne peut que s’en tenir au fait.
En somme, ces préoccupations comptent parmi les points que les promoteurs de l’impression 3D devront résoudre avant que la pratique n’entre réellement dans les habitudes des sociétés modernes.